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Equateur - Volcans et côte Pacifique - Juin 2018

Etape 59 - Laguna Llaviulo - Une balade autour du lac

Jeudi 28 juin 2018. A nul doute, la présence de l'eau à travers les centaines de lacs du parc national des Cajas*** est essentielle pour préserver l'écosystème local. Il existe actuellement 60 stations de surveillance où des échantillons d’eau sont prélevés et des analyses physiques et chimiques périodiques effectuées.

Une des mesures phares pour préserver l'intégrité du parc naturel est est la limitation de la capacité touristique. Des analyses techniques ont été développées pour déterminer le nombre de visiteurs pouvant se trouver dans le même espace en une journée. Par exemple, dans le secteur de Llaviuco, le nombre optimal de visites est de 114 personnes, tandis que dans la lagune de La Toreadora (l'une des plus visitées), il peut accueillir 92 personnes.

94% de la surface du parc national de Cajas correspond à l'écosystème du páramo; 2%, aux forêts indigènes; 1% à la végétation arbustive et 3% aux zones humides.

Avec des eaux calmes et une forêt abondante avec des milliers de textures et de couleurs, la lagune de Llaviuco est vraiment idéale pour réaliser quelques beaux clichés de nature sauvage.

On estime qu'il ya des environ 500 plantes réparties dans 243 genres et 70 familles, ce qui équivaut à la moitié des genres de plantes vasculaires enregistrées dans les landes de l'Equateur.

De l'autre côté de la rive, on pénètre alors dans une magnifique forêt luxuriante où on retrouve peu ou proue la même végétation qu'autour de la lagune Toreadora.

Les essences de bois abondent dans cette partie du parc, et on retrouve ainsi les forêt de polylepis et de "sapins de papier", typiques de la "Papertree" de Toreadora.

Pour permettre la balade sans porter atteinte au milieu naturel, de nombreux aménagements ont été réalisés. On surplombe ainsi la lagune sur une bonne centaine de mètres grâce à la présence de passerelles abritées.

Depuis la passerelle, on a une vue unique sur la lagune et la canopée qui l'entoure.

Une fois redescendus de la passerelle, on pénètre de nouveau dans la forêt épaisse qui enserre la lagune. L'occasion pour moi de réaliser toute une série de clichés de cette forêt primaire. Mon 35 mm donne toute sa puissance.

Enfin, on achève la balade par la partie sud où on traverse les rivières qui alimentent la lagune. Dommage... J'ai oublié en France mon filtre nd 400 pour réaliser des pauses longues. Ce sera pour une autre fois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 
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